Le Journal de Montréal >
Alors que les politiciens fédéraux en campagne électorale débattent de la question de l’immigration et des demandeurs d’asile, l’activité est intense ces jours-ci à la frontière avec les États-Unis.
Plusieurs sources ont indiqué à TVA Nouvelles que, depuis l’été, ça ne dérougit pas sur le chemin Roxham, à Saint-Bernard-de-Lacolle. On y dénombre entre 50 et 60 passages irréguliers chaque jour. Il y a donc plus de 1000 demandeurs d’asile qui, chaque mois, arrivent par autobus au centre-ville de Montréal, rêvant de la citoyenneté canadienne et d’une meilleure vie.
Ils proviennent du Salvador, du Mexique, du Soudan et d’Haïti pour ne nommer que ces pays. On les héberge temporairement au YMCA de la rue Tupper, à Westmount, et même dans l’ancien hôpital Royal Victoria, à Montréal.
Le YMCA héberge entre 1000 et 1200 migrants au quotidien.
Un immigrant, c’est quelqu’un qui a de l’audace, du courage, de la vision et de l’abnegation. Et qui souhaite par dessus tout que ses enfants s’accomplissent dans leur (nouvelle) societe. Cessons de les diaboliser.
Selon le ministere, la noyade de ces caribous aurait ete le fruit de trois evenements concomitants : une concentration importante de caribous, le choix d’une traverse dangereuse et la forte crue de la riviere. Le rapport du MLCP explique que « les animaux de tete, pousses par les autres, auraient ete forces de se mettre a l’eau meme si leur instinct les incitait a rebrousser chemin face a un danger eventuel. Si les premiers caribous s’engagent dans une traverse dangereuse, l’ensemble du groupe, se trouvant dans une situation de panique et d’agressivite, suivra dans un desordre total les premiers caribous qui se sont mis a l’eau»