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Alors que la Turquie affronte la Syrie pour protéger ses milices islamistes d’Idleb, le « sultan » Erdogan menace d’envoyer des millions de réfugiés en Europe si celle-ci ne l’appuie pas militairement.
La Grèce se retrouve donc confrontée à une crise majeure à sa frontière avec la Turquie. L’armée grecque a été envoyée pour freiner l’invasion planifiée par le gouvernement turc.
L’île de Lesbos est aussi en pleine crise alors que la population locale repousse les bateaux de migrants venus de Turquie et que des émeutes ont éclaté contre les autorités qui voulaient construire de nouveaux camps de réfugiés.
L’Europe sous pression
Alors que les médias québécois font l’impasse sur la situation extrêmement tendue qui prévaut en Europe, la chancelière allemande Angela Merkel a affirmé que les menaces turques étaient « inacceptables ».
Il est inacceptable que le président Erdogan et son gouvernement expriment leur mécontentement non auprès de nous, en tant qu’Union européenne, mais sur le dos des réfugiés.
Angela Merkel
Par l’intermédiaire de sa chaîne arabophone, la Turquie a diffusé une carte pour indiquer aux populations musulmanes les points de passage afin d’entrer en Europe.
La crise migratoire en Grèce et les tensions militaires en Syrie – rappelons que la Turquie est membre de l’OTAN – pourraient rapidement se répercuter sur la politique intérieure européenne.
Ça ressemble à un genre de châtiment divin sur l’Europe et sur le monde occidental en général. L’Occident a déplu à Dieu, donc les terres d’Europe et d’Amérique du Nord vont être donné à d’autres peuples.
Il semble que les premiers visés par ce « châtiment » soient les élites occidentales parce que depuis plus de 30 ans, ils se sont désolidarisées complètement de leurs compatriotes des classes socio-économiques inférieures.
Je me souviens il y a 30 ans, Guy Paiement se plaignait dans la revue « Relations » qu’au Québec, c’était dans les classes socio-économiques les moins favorisées qu’il y avait le plus de solitude et le moins d’enfants. Évidemment, rien n’a été fait par les classes dirigeantes pour corriger cet état de fait, ces classes dirigeantes étant davantage occupées à l’époque à rendre l’avortement plus accessible.
Et maintenant en 2020, ces mêmes classes dirigeantes se plaignent qu’il y a pénurie de main-d’œuvre et réclament plus d’immigrants.
Ça fait-y assez dur? S’ils avaient favorisé la natalité des gens des classes populaires il y a 30 ans, on en serait pas là. Mais peut-être était-ce le plan tellement il semblait à l’époque exister une haine de classe épouvantable de la part des nantis à l’égard des moins nantis.
À cause de cela, il n’est pas surprenant de voir le pays donné à d’autres qui se tiennent comme nation et comme peuple.
Même s’il est un peu tard, ressortir nos chapelets serait une bonne idée.
Nous dans les Balkans avons une histoire d’amour et de haine avec la Turquie. Dans le temps c’était connue sous le nom « l’empire ottoman » qui était notre colonisateur du 15 jusqu’au début du vingtième siècle. Et oui la Turquie nous a emmené l’islam et la charia dans cette partie de l’Europe. Faut surtout pas oublier que les musulmans de chez nous sont des natif qui se sont convertis a l’islam durant le règne de l’empire ottoman.
Pour ne pas l’oublier que la Bosnie-Herzégovine, l’Albanie, le Kosovo sont des pays d’Europe qui sont à plus 50 % de musulmans selon leur recensement. La seule différence avec les musulmans c’est qu’il ont une forte natalité. Peut importe le contexte économique. Ils continuent de se reproduire comme des lapins
Je vous le dis ne faites pas la même chose comme en France. Vos cousins français continue d’être ignorants sur la question de l’islam. Les québécois ne faites pas la même chose