Alexandre Cormier-Denis >
Une certaine Anne Pélouas, correspondante montréalaise du pitoyable quotidien français Le Monde – que l’on rebaptisera ici « L’Immonde » – vient d’écrire un article sur la montée de « l’extrême droite » (sic) et du « néonazisme » (re-sic) au Québec dans lequel elle associe pêle-mêle : Marine Le Pen, La Meute, Atalante, la Fédération des Québécois de Souche ainsi que l’organisation que je préside, Horizon Québec Actuel.
Anne Pélouas, une baby-boomer française déracinée qui vit son post-nationalisme au Québec
Des organisations comme La Meute, Atalante, Les Soldats d’Odin ou encore Storm Alliance, qui attirent des ultranationalistes anti-islam et anti-immigration comme des néonazis, ont organisé leurs premières manifestations dans la province.
Un néonazi identifié
Même chose pour la Fédération des Québécois de souche, qui ne cache pas sa sympathie pour le Rassemblement national (RN, ex-FN), et le dernier-né Horizon Québec actuel (sic).
Voici un court extrait de l’article réservé aux abonnés
Outre le ridicule du propos – quiconque sain d’esprit peut associer le nouveau Rassemblement national de Marine Le Pen au néonazisme ? – l’article démontre en fait la panique totale et absolue de la médiacrassie libérale-libertaire sur l’évolution politique récente de l’Occident.
Pour la forme, rappelons que le quotidien est détenu par Xavier Niel, marié a une membre de la richissime famille Arnault, et par Matthieu Pigasse, dirigeant de la banque Lazard. Par son contenu et sa ligne éditoriale, « L’Immonde » peut être considéré comme l’un des plus grands médias propagandistes du mondialisme en France.
Matthieu Pigasse, feu Pierre Berger et Xavier Niel ont acquis L’Immonde en 2010
L’effondrement du mythe de la mondialisation heureuse
De la Hongrie jusqu’à l’Italie, sans oublier les États-Unis de Trump, les peuples mettent au pouvoir des élus résolument patriotes qui cherchent tous à ce que leur pays retrouve sa souveraineté nationale.
Ce basculement occidental dans les bras des patriotes de diverses sensibilités s’explique notamment par les effets pervers de la mondialisation malheureuse en matière économique – désindustrialisation, chômage, financiarisation de l’économie, etc. – mais surtout par l’imposition de l’immigration massive et de l’utopie multiculturelle.
Or, malgré l’intense propagande des élites cosmopolites déracinées en faveur du multiculturalisme, de l’islam et du métissage, les peuples occidentaux vivent un sursaut national qui pourrait définitivement mettre à mal l’utopie d’un monde sans frontière souhaité par les banquiers apatrides et leurs idiots utiles d’extrême-gauche.
Matteo Salvini, le ministre de l’Intérieur italien est devenu le Bonhomme Sept Heure des immigrationnistes européens
C’est ce qui explique la panique actuelle des médias de masse qui tentent grossièrement d’associer toute défense de l’identité nationale au néonazisme ou à un retour du fascisme.
Au fond, cet article plutôt minable qui tente de faire de Montréal le foyer du « néonazisme » en Amérique du Nord ne fait que démontrer la panique des élites médiatiques qui sentent que leur monopole sur le discours public et l’hégémonie culturelle qui en découle s’érodent un peu plus chaque mois.
Malgré le caractère hautement diffamatoire de l’article, il faut politiquement se réjouir de la crainte qui habite désormais les ténors du mondialisme et leurs petits propagandistes.
Ils savent que leur monde est en train de s’écrouler.