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François Legault craint de galvaniser le mouvement antimasque s’il devait intervenir pour encadrer ou interdire les manifestations qui prennent de l’ampleur depuis plusieurs semaines au Québec.
«On ne prévoit rien à court terme, mais on n’exclut rien dépendamment de l’évolution de la situation», a affirmé le premier ministre mercredi matin lors d’un point de presse à l’Assemblée nationale.
Les rassemblements antimasques ont attiré de plus en plus de citoyens mécontents au fil des semaines. Ils étaient plusieurs milliers dans les rues de Montréal récemment, sans masque et sans distanciation sociale.
Toutefois, il est délicat d’intervenir pour encadrer un droit fondamental comme celui de manifester.
«Est-ce qu’on veut interdire toutes les manifestations? Est-ce que les personnes qui sont collées habitent ensemble? Si c’est le cas, ils ont le droit, a-t-il illustré. Donc, ce n’est pas si simple.»
M. Legault s’est questionné à haute voix sur la «possibilité de le faire légalement» et la «possibilité de mettre ça en force par les policiers». «On se souvient de ce qui s’était passé avec les manifestations étudiantes, à l’époque», a-t-il souligné en référence au Printemps érable de 2012.
«Est-ce qu’on veut faire des ‘‘martyrs’’, entre guillemets, de ces personnes-là?» a-t-il ajouté.
Mandats et partys privés
Au cours du même point de presse, M. Legault a déclaré que l’État ne peut intervenir dans les maisons pour faire cesser les soirées privées, identifiées par Québec comme la principale cause des nouvelles éclosions au Québec.
«Vous savez que, au Québec, pour entrer dans une maison, ça prend un mandat, a-t-il rappelé. Donc, effectivement, ce n’est pas simple. Mais on n’exclut rien.»
Des discussions sont en cours entre la Sécurité publique et le Directeur des poursuites criminelles et pénales «pour voir comment éventuellement on pourrait travailler», a ajouté le premier ministre.
Les québécois est ce que vous êtes content de la dictature moux qui s’installe. Pourquoi vous vous tenez pas debout.
Un peuple de mouton mérite qu’on les traitent de mouton. J’aurais honte moi
C’est vraiment le retour des jours de Noé juste avant le retour de Jésus.
Ça veut dire que d’ici le retour de Jésus, on ne s’en va pas vers du mieux malheureusement… l’égarement et la décadence vont continuer à gagner du terrain…
Mieux vaut sortir nos chapelets et prier!
Dans tout ce qui se passe, je ne peux faire autrement que de penser à ce passage du célèbre ouvrage de Thomas More « L’Utopie »:
« Quand je reconsidère ou que j’observe les États aujourd’hui florissants, je n’y vois, Dieu me pardonne, qu’une sorte de conspiration des riches pour soigner leurs intérêts personnels sous couleur de gérer l’État. Il n’est pas de moyen, pas de machination qu’ils n’inventent pour conserver d’abord et mettre en sûreté ce qu’ils ont acquis par leurs vilains procédés, et ensuite pour user et abuser de la peine des pauvres en la payant le moins possible. Dès que les riches ont une fois décidé de faire adopter ces pratiques par l’État — qui comprend les pauvres aussi bien qu’eux-mêmes — elles prennent du coup force de loi. Ces hommes détestables, avec leur insatiable avidité, se sont partagé ce qui devait suffire à tous ; »
Il faut sortir nos chapelets!
Et pour renchérir sur la citation de Thomas More ci-haut, ce que j’ai vu dans ma vie confirme la citation cent fois et je ne suis plus une jeunesse.
Quand Thomas More dit en parlant des riches: « Il n’est pas de moyen, pas de machination qu’ils n’inventent pour conserver d’abord et mettre en sûreté ce qu’ils ont acquis par leurs vilains procédés… » il n’y pas de doute dans mon esprit qu’il dit vrai.
Ces gens dont parle Thomas More peuvent probablement relâcher un virus dans la communauté si ça les aide à « mettre en sûreté ce qu’ils ont acquis par leurs vilains procédés. »
Vraiment, nous sommes au retour des jours de Noé juste avant le retour de Jésus. Il faut prier fort en ces temps de misère, en particulier le chapelet.