Eugène d’Estimauville de Beaumouchel >
Au cours des derniers mois, plusieurs faits rapportés par les médias ont révélé l’état de dégénérescence avancée de nos écoles publiques, surtout dans la région de Montréal, épicentre québécois de l’enrichissement culturel et du progrès sociétal sans limites.
Antifas
Le vidéaste DMS a ainsi révélé que Xavier Watso, un enseignant de l’École secondaire Louis-Riel à Montréal, est un antifa décomplexé qui expose ses élèves à l’imagerie de cette nébuleuse anarcho-communiste prônant la violence et le sabotage.
Watso a également accroché des drapeaux « QTBIPOC » et Black Lives Matter dans sa classe. Celui qui se décrit comme un autochtone « bispirituel » recommande aussi au public de poser des gestes illégaux comme bloquer les chemins de fer ou décrocher les pancartes électorales des partis nationalistes ou de droite. Il a en outre cautionné moralement les attaques contre les églises catholiques au Canada anglais.
La vidéo de DMS vaut le détour :
Al-Qaïda
On a également appris la semaine dernière que le prêcheur salafiste Adil Charkaoui avait été embauché comme prof de français dans une école de Sainte-Thérèse.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce sympathique personnage, Charkaoui est un imam et enseignant marocain qu’Ottawa a longtemps tenté d’expulser du pays.
Les services de renseignements le soupçonnent d’être proche d’Al-Qaïda. Plusieurs étudiants du Collège de Maisonneuve, qui étaient sous son influence, ont d’ailleurs tenté de rejoindre la Syrie pour y faire le djihad. Pas plus tard que l’an dernier, Charkaoui a célébré la victoire des Talibans sur Twitter.
Les imams salafistes de Montréal célèbrent la victoire des talibans
Charkaoui a de plus refusé de condamner l’État islamique lors d’une entrevue surréaliste à Radio-Canada il y a quelques années, au cours de laquelle il s’est présenté comme une victime de l’islamophobie des médias et des partis politiques :
Il est impardonnable qu’un tel individu ait pu être embauché par une école (surtout publique). Cela en dit long sur l’incompétence (voire la complicité…) des gratte-papiers qui ont pris cette décision.
Et l’infiltration islamiste dans les écoles de la région métropolitaine ne se limite malheureusement pas à Charkaoui.
Propagande 2ELGBTQQIA+
La folie des drag queens s’est en outre emparée des responsables scolaires.
On a par exemple appris que la drag queen Barbada de Barbade avait tenu une heure du conte drag queen pour une classe de maternelle!
L’annonce de la tenue d’un de ses évènements dans une école de Saint-Laurent a généré un tollé auprès des parents, mais, signe de la puissance du lobby LGBTQ, l’évènement a tout de même eu lieu.
L’idéologue gauchiste qui sert de mairesse à la principale ville du Québec en a bien sûr profité pour faire la promotion de cette pratique :
Il y aura toujours de la place pour les drag queens dans nos bibliothèques et lieux de diffusion.
Par leur présence et leur art, elles contribuent à faire de Montréal une ville plus ouverte, juste et inclusive. 🏳️🌈#polmtl
— Valérie Plante (@Val_Plante) July 5, 2022
Et Barbada n’est pas simplement d’un homme aimant se déguiser en femme caricaturale devant des enfants.
Comme on peut le voir dès les premières secondes de ce reportage de TVA, cet individu récite des contes très orientés politiquement qui visent à imposer aux enfants en développement une vision très précise du genre, de la famille et des relations de couples.
Beaucoup n’en sont pas conscients, mais le fait d’exposer les enfants aux drag queens n’est pas qu’une simple mode, mais bien une praxis conceptualisée par des penseurs déconstructionnistes américains. Le but explicite de cette drag pedagogy est de sexualiser l’enfant dès le plus jeune âge à des fins révolutionnaires :
In this article, we explore the pedagogical contributions of a programme called Drag Queen Story Hour (DQSH) as a form of queer imagining in an early childhood context. Through this programme, drag artists have channelled their penchant for playfully “‘reading’ each other to filth”1 into different forms of literacy, promoting storytelling as integral to queer and trans communities, as well as positioning queer and trans cultural forms as valuable components of early childhood education. We are guided by the following question: what might Drag Queen Story Hour offer educators as a way of bringing queer ways of knowing and being into the education of young children?
[…]
We propose that DQSH offers a particular kind of queer framework – what we call drag pedagogy – for teaching and learning that extends beyond traditional approaches to LGBT curricular inclusion. The themes within drag pedagogy, applicable beyond the context of drag itself, move away from vocabulary lessons and the token inclusion of LGBT heroes to begin to engage deeper understandings of queer cultures and envision new modes of being together. We emphasize that drag pedagogy resists didactic instruction and is not prescriptive. Instead, it artfully invites children into building communities that are more hospitable to queer knowledge and experience.
Grand remplacement et exil des profs
La Presse a récemment consacré un article à un phénomène inquiétant : les enseignants fuient l’île de Montréal.
Le papier en question cite la présidente de l’Alliance des professeures et professeurs de Montréal, qui explique ainsi le départ de ses anciens collègues :
Montréal, pour un enseignant, c’est « des écoles délabrées, le manque de services, des pénuries de professionnels, des classes multiethniques, des enfants qui ne parlent pas le français », énumère Mme Beauvais-St-Pierre.
Rappelons au passage que le chemin Roxham, qui est plus achalandé que jamais, a fait exploser le nombre d’élèves dans les classes d’accueil de la région. La francisation de ces enfants coûte cher et draine des ressources déjà rares dans un contexte de pénurie d’enseignants. De plus, lorsque ces enfants rejoignent les classes régulières, ils ralentissent l’ensemble du groupe.
@quebecfier Le chemin Roxham : un fiasco signé Trudeau #Trudeau #trudeaucorruption #DehorsTrudeau #Roxham #Frontières #invasion #immigrationillégale #PLC #NPD
Ensauvagement
En plus du lavage de cerveau et de la baisse de qualité de l’enseignement, les étudiants doivent de plus en plus faire face à un milieu scolaire physiquement dangereux.
Il y a longtemps que l’extrême-gauche sème le grabuge et l’intimidation sur les campus dans la complaisance des autorités, mais l’ensauvagement migratoire a, lui aussi, gagné les écoles.
Les gangs de rues sont ainsi très présents dans les établissements scolaires de certains quartiers de Montréal, Laval et Longueuil. Ils y vendent de la drogue, poussent les adolescentes à se prostituer et n’hésitent pas « à menacer, agresser et intimider avec des armes à feu pour s’imposer autour des écoles secondaires ».
Les jeunes sont bien sûr des proies idéales pour eux.
Signe que la détérioration sécuritaire se généralise, ce phénomène semble maintenant s’étendre à l’éducation supérieure.
L’urgence d’agir
Malgré tous ces problèmes, et malgré une réelle baisse des résultats académiques, les écoliers québécois font toujours bonne figure dans les classements internationaux, peut-être parce que d’autres pays occidentaux traversent une phase d’effondrement du niveau scolaire encore plus grave.
Quoi qu’il en soit, il est quasi certain que les résultats scolaires en région sont supérieurs à ceux de la région de Montréal.
Il est vital de prendre la menace au sérieux pour éviter que le cancer islamo-gauchiste se métastase et pour espérer un jour reprendre en main les écoles les plus remplacées et les plus touchées par la chienlit.
La France et les États-Unis doivent nous servir d’avertissement.