Accueil / Immigration / Immigration massive et islamisation : Le Québec recrute des travailleurs au Maghreb

Immigration massive et islamisation : Le Québec recrute des travailleurs au Maghreb

Pascal Dugas Bourdon >

Dépassé par la pénurie de main-d’œuvre, le CISSS de Chaudière-Appalaches veut mener une mission de recrutement de préposés aux bénéficiaires en Tunisie, a appris l’Agence QMI.

«Cette année, notre cible d’embauche à nous c’est 450 préposés aux bénéficiaires, et l’année dernière, on en a embauché 379 de peine et de misère et en faisant déjà preuve de créativité. La cible de cette année est encore plus importante et on se disait: mais comment on va y arriver?», a indiqué en entrevue à l’Agence QMI Julie Gauthier, responsable du projet au CISSS.

L’organisme public a donc décidé de prendre les grands moyens, soit l’embauche à l’étranger de 40 préposés. Si le CISSS a d’abord pensé à la France pour son recrutement, le manque de travailleurs français dans le domaine a rapidement poussé l’organisme à se tourner vers l’Afrique du Nord.

«Ce qu’on nous dit, c’est que la Tunisie, c’est peut-être plus facile au niveau de l’intégration [qu’ailleurs]. Le français aussi est un avantage, et il y a une très bonne formation d’aide-soignant», a résumé Mme Gauthier.

Firme pour accompagner

Le centre intégré de santé a jugé nécessaire de procéder à l’embauche d’une firme spécialisée dans le recrutement à l’étranger pour se donner les meilleures chances de réussite. Un appel d’offres, qui prendra fin à la mi-janvier, a été lancé plus tôt cette semaine.

«On veut être bien accompagné pour que ce soit une réussite. Autant dans la présélection des candidats que dans leur arrivée ici», a expliqué Mme Gauthier.

Malgré la volonté de l’organisme public, il s’écoulera sans doute quelque neuf mois entre le recrutement et l’arrivée des premiers travailleurs tunisiens au Québec.

En plus de l’embauche d’une firme privée, une «petite délégation» du CISSS fera le voyage jusqu’en Tunisie, notamment pour s’assurer que les candidats sélectionnés ont une formation pertinente pour la tâche à accomplir au Québec.

«On devra leur donner une mise à niveau, parce qu’il y a des formations qu’ils n’ont pas, comme les soins palliatifs, par exemple», a dit Mme Gauthier.

> La suite sur le Journal de Québec.

Voir également

Pénurie de main-d’œuvre? 55 702 immigrés sur le BS en juin dernier

Eugène d’Estimauville de Beaumouchel > Alors qu’on n’en finit plus de nous casser les oreilles …

Un commentaire

  1. Moi tant qu’il auras des sans abris au quebec je ne suis pas d’accord avec Cest immigrants
    Premièrement ils veulent faire leurs loi ici et nous a fait fermer plusieurs de nos églises nos
    Croix sont banis de nos écoles et aujourdhui ils sont sur le b.s moi je travaille et je paye pour eux
    Ils sont rassise aucune compassion deux ils acheté dans les marche au puce pour ne pas payer de taxes
    Et en plus il ce réunissent dans des locaux qu’il loués pour ce réunir ? Nous les québécois ont ne pourrait faire comme eux çar ils dirait qu’ont ce prépare à une guerre ben ouvrer vous les yeux ils sont là têtes couvrir et c’est normal nous une cagoule sa tete et il veulent qu’ont les enlevé siboire ont n’est tu chez nous ou cest nous qui sommes rendu des immigrants je ne comprend pas ouvrer vous les yeux çar nous sommes tanner de passez pour des deux piques arrêter de nous écoeure avec eux

Répondre à Beaulieu Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *