Vous croyez encore à la biologie? Cela fait de vous un « transphobe » selon la gauche dégénérée.
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Le délire trans est en train de détruire le sport féminin

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Vous croyez que le monde est condamné à s’enfoncer toujours plus dans l’absurde au nom de l’inclusion ?

[…]

Je vous ai déjà parlé des athlètes nés hommes qui deviennent des femmes transgenres et transforment les compétitions sportives féminines en parodie tant leur domination est outrageuse.

Réalité

La revue The Economist revenait récemment sur le sujet.

Lia Thomas, 22 ans, étudie à l’Université de Pennsylvanie. Son sport, c’est la natation.

Née homme, Lia Thomas se veut femme. Elle n’a pas subi d’intervention chirurgicale. La protubérance entre ses deux jambes est parfaitement visible sur le podium.

Car Lia Thomas démolit ses rivales. En décembre, Thomas a remporté un 1500 mètres avec une avance de… 38 secondes.

Le combattant Fallon Fox a fracturé le crâne de deux de ses opposantes de sexe féminin dans l’octogone.
[…]

Sa seule adversaire sérieuse, Izzi Henig, de l’Université Yale, est… également transgenre.

Thomas a longtemps compétitionné chez les hommes, sans grande distinction. Les médailles ont commencé à pleuvoir quand elle a pu compétitionner contre des femmes.

Ses propres coéquipières disent respecter sa nouvelle identité, mais pas au point de tolérer l’avantage indu sur le plan sportif.

Leur lettre collective ne fut pas signée par crainte, disaient-elles, de représailles.

[…]

Thomas n’enfreint aucun règlement puisque la NCAA, qui régit le sport universitaire aux États-Unis, autorise des femmes trans à compétitionner contre des femmes nées femmes si elles prennent des produits abaissant leur niveau de testostérone.

La science, cependant, dévoile progressivement que la réduction artificielle de la testostérone ne supprime pas vraiment les avantages physiques innés liés au sexe masculin.

Le biologiste François Chapleau rappelait aussi dans Le Devoir (30 novembre 2021) qu’il n’y a que deux cellules sexuelles de base (des gamètes) : l’ovule et le spermatozoïde.

Même si le transgenre Laurel Hubbard a été incapable de décrocher une médaille aux Jeux de Tokyo, sa simple présence signifie qu’une femme n’a pu se qualifier.

Le sexe biologique est binaire et inaltérable. La chirurgie ou tout autre traitement n’y changent rien. 

Dans les cas rarissimes où un enfant naît avec des caractéristiques des deux sexes, cette personne, si elle est féconde, produira des ovules ou des spermatozoïdes.

[…]

>>> Lire le texte complet de Joseph Facal

Pour en savoir plus :

Biological male who broke a woman’s skull named “bravest athlete in history” | The Post Millennial

JO 2021 (haltérophilie): non-médaillée, Laurel Hubbard est devenue la première athlète transgenre aux Jeux (bfmtv.com)

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