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Alors que François Legault et la CAQ sont toujours au sommet, l’arrivée d’Erin O’Toole comme chef du Parti conservateur à Ottawa brouille les cartes. Une course à trois se dessine même au Québec.
«O’Toole marque des points, et le PCC est en remontée au Québec», note Jean-Marc Léger, président de la firme de sondage Léger.
L’écart entre le PCC, les libéraux de Justin Trudeau et le Bloc québécois de Yves-François Blanchet s’est resserré. Le NPD reprend lui aussi du poil de la bête et est en remontée.
Du côté de l’Assemblée nationale, la béatification de François Legault se poursuit, et sa popularité stratosphérique se maintient.
Les partis d’opposition se retrouvent relégués au second plan, très loin derrière la CAQ, et la course à la direction du Parti québécois passe inaperçue.
Le grand sondage de la rentrée montre que Paul Saint-Pierre Plamondon a le vent dans les voiles, alors que Sylvain Gaudreault et Guy Nantel stagnent ou perdent des plumes.
La notoriété de l’humoriste Nantel fait toutefois de lui le seul candidat qui ferait monter le Parti québécois dans les sondages si jamais il devenait chef.
À 48 % des intentions de vote, la CAQ continue de dominer la scène politique québécoise. Le PLQ (22 %), le PQ (17 %) et Québec solidaire (11 %) ne lui arrivent pas à la cheville.
«C’est une avance impressionnante», note Jean-Marc Léger. En situation de bipartisme, ce genre de résultat ne fait pas sourciller.
Robert Bourassa a obtenu près de 50 % des suffrages exprimés lors des élections générales de 1989. Mais avec plusieurs adversaires, c’est un tour de force que la CAQ puisse maintenir un appui aussi fort, dit M. Léger.
Mieux encore, pour François Legault, le taux d’approbation de sa gestion de la pandémie (76 %) est plus élevé que ses appuis politiques. Il a donc de l’espace pour convaincre plus de Québécois de voter pour lui, analyse M. Léger.
Pendant ce temps, la chef parlementaire de QS, Manon Massé, et la chef libérale, Dominique Anglade, cumulent plus de mauvaises que de bonnes opinions.
Comme j’ai déjà mentionné dans un commentaire pour un article précédent, la CAQ a été mis au pouvoir par les milliardaires supranationaux en prévision de la pandémie car ils savaient que la CAQ était le meilleur parti pour faire accepter aux Québécois toutes les restrictions que la pandémie nécessite.
C’est le retour des jours de Noé et du déluge. On ne peut pas faire grand chose à part prier le chapelet.
Amen
Les québécois francophones aiment la dictature soit disant moux
Tout ça me rappelle qu’aujourd’hui c’est le triste anniversaire des attentats du 11 septembre 2001. À cette époque, on nous avait dit qu’il y avait un avion qui avait percuté le Pentagone et un autre qui s’était écrasé dans un champ en Pennsylvanie.
J’ai eu beau regarder toutes les images que les médias pouvaient montrer, je n’ai jamais pu distinguer d’épaves d’avion à ces endroits.
Mais les journalistes de Radio-Canada, Tva, etc… ont toujours dit qu’il y avait des épaves d’avions à ces endroits même si ces épaves étaient invisibles.
Depuis ce temps, inutile de dire que je suis méfiant des médias mainstream et malheureusement aussi des politiciens qui ont toujours endossé ce qui me semble être un mensonge de grande ampleur.
Alors c’est pour cette raison que je ne peux croire entièrement ce qui a rapport à la pandémie, ni du côté des médias, ni du côté des politiciens.
Ce qui est malheureux, c’est que la grande majorité des citoyens semblent y croire totalement… Bien sûr, comme pour le 11 septembre, si tu tiens à protéger ton argent, ton statut social et tes acquis, tu es mieux d’acquiescer à tout ce que disent ceux qui sont « big » dans la société, peu importe qu’il s’agisse de faussetés.
C’est vraiment le retour des jours de Noé et du déluge qui doit arriver juste avant le retour de Jésus. Il ne nous reste qu’à prier le chapelet dans cette folle époque.
Peut importe qui est au pouvoir, comme le dicton le dis « plus ça change, plus c’est pareil « .
Legault a joué la carte de l’immigration de masse pour se faire élire.