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Il y a 200 femmes derrière les clôtures en fil de fer barbelé de 2,4 mètres de haut du Grand Valley Institute.
La plupart sont le produit de foyers dysfonctionnels et abusifs, de relations violentes, de la toxicomanie et de mauvaises décisions.
Mal-aimées et en quête de rédemption.
Heather Mason était l’une d’elles. Elle connaît la peur qui règne à l’intérieur de la prison de la région de Kitchener [en Ontario, NDLR] et d’autres centres correctionnels pour femmes à travers le pays.
Ce qui attise cette peur est l’arrivée de « détenues » ayant commis des agressions sexuelles violentes – et des meurtres.
Une douzaine d’autres transgenres devraient arriver à Grand Valley.
« C’est bizarre, parmi les conditions qu’on leur a imposées, il y a de ne pas s’approcher des femmes et des enfants. Où sont-ils placés? Avec des femmes et des enfants », a déclaré Mason au Toronto Sun.
Elle décrit les têtes d’affiche de cette audacieuse réforme qui chamboule le Service correctionnel du Canada (SCC) :
Matthew Harks, Tara Pearsall, Fallon Aubee, Tara Desousa et Jean Boulachanis.
Un pédophile en série, un délinquant sexuel en série, un tueur à gage, un tueur d’enfants et un meurtrier.
Ces criminels qui se prétendent transgenres sont dangereux. Et les détenues de sexe féminin le savent.
La liste des exigences du SCC pour être transféré d’une prison pour hommes à une prison pour femmes est dérisoire.
Si ces « détenues » gagnent le jackpot et finissent dans un pénitencier pour femmes, « elles » se retrouvent automatiquement dans un établissement à sécurité moyenne même si elles ont parfois commis des crimes odieux.
Mason a déclaré que lorsque la tristement célèbre P4W [Prison for Women, NDLR] de Kingston a fermé ses portes, le SCC a réalisé que les prisonnières ne devaient pas être confondues avec les prisonniers.
Leurs besoins et les raisons pour lesquelles elles se retrouvent derrière les barreaux sont fondamentalement différentes. Les programmes visant à les réinsérer dans la société ont par conséquent été spécifiquement conçus pour la gent féminine.
Tout cela a changé le 17 juin 2017, lorsque le premier ministre Justin Trudeau – submergé par ses bon sentiments woke – a introduit le projet de loi C-16, ajoutant « l’expression et l’identité de genre » comme critères protégés en vertu de la Loi canadienne sur les droits de la personne.
« Si vous critiquez cette politique d’une quelconque manière, vous êtes qualifié de transphobe ou de TERF [Trans-exclusionary radical feminist, NDLR], ou on vous accuse de propager un discours haineux », a déclaré Mason.
« Les femmes sont sacrifiées sur l’autel de la rectitude politique. Nous sommes ignorées… tout ce pour quoi nous nous sommes battues est réduit à néant. »
L’un des changements survenus au début des années 1990 a été la reconnaissance du fait que la plupart des femmes incarcérées sont là pour des crimes non violents liés aux drogues. Généralement, elles sont elles-mêmes toxicomanes.
Le SCC a également reconnu que les enfants des femmes devraient jouer un rôle dans leur réinsertion.
Mason a malheureusement déclaré que les femmes incarcérées étaient terrifiées à l’idée d’avoir leurs enfants dans les parages à cause des prédateurs sexuels nouvellement arrivés.
« C’est écœurant qu’ils puissent s’en tirer en mettant des pédophiles dans des unités à sécurité minimale où se trouve le programme mère-enfant [cela n’inclut pas Grand Valley] », a-t-elle déclaré.
Ce milieu moins supervisé ne semble pas avoir tempéré les pulsions d’un certain nombre de détenus trans violents.
Selon une détenue, le meurtrier et violeur de bébés « Tara Desousa » – emprisonné au Fraser Valley Institute de Colombie-Britannique – rôderaient autour du programme mère-enfant. Il est violent et très agressif sexuellement, a déclaré Mason. [Laboucan a également été reconnue coupable d’avoir menacé une gardienne et d’avoir possédé un couteau et consommé des stupéfiants en prison, NDLR]
« Et les programmes pour délinquants sexuels ne sont pas du tout adaptés aux personnes qui sont biologiquement des hommes », a déclaré Mason.
Les tribunaux, les refuges et les prisons sont remplis de femmes brisées, souvent victimes d’abus sexuels de la part d’hommes censés les protéger et prendre soin d’elles.
Maintenant, elles doivent affronter des intrus qui ont les mêmes intentions malveillantes que leurs bourreaux.
Le signalement de vertu de Justin Trudeau et de la bureaucratie carcérale conviennent parfaitement à Twitter, mais dans le monde réel, les conséquences peuvent être extrêmement graves.
Les québécois réveillé vous.
Ça sera la fin du Québec sinon
Le wokisme est la métastase d’un cancer qui ronge l’occident depuis des décennies. Cela a débuté tranquillement avec le « politically correct » puis est arrivé le multiculturalisme, le progressisme et finalement cette bouillie d’inversion des valeurs qu’est le wokisme.
Aujourd’hui, une nouvelle génération woke(*) est entrée sur le marché du travail et commence à prendre les commandes au sein des entreprises et des institutions. Alors, à moins d’une prise de conscience rapide de la population, on ne retrouvera jamais le Québec d’avant. Le wokisme, la plandémie et les changements climatiques anthropiques ne sont que quelques-unes des tentacules de l’hydre mondialiste qui nous conduit vers la « nouvelle normalité ».
(*) Yuri Bezmenov, ancien journaliste soviétique et ex-agent du KGB disait que pour démoraliser une nation cela prenait de 15 à 20 ans, soit le temps nécessaire pour « éduquer » une génération à une nouvelle idéologie subversive (Love Letter to America, p.24). https://archive.org/details/yuri-bezmenov-books-and-documents