Eugène d’Estimauville de Beaumouchel >
À quelques heures du scrutin, Trudeau a encore trouvé le moyen de nous ridiculiser aux yeux du monde.
Une nouvelle photo du premier ministre du Canada déguisé en pseudo-Noirabe mimant des gestes obscènes a refait surface.
Cela démontre une fois de plus que celui qui nous sert de dirigeant est un être immature qui ne mérite tout simplement pas de présider à la destinée d’un pays du G7.
Si une proportion effarante de l’électorat canadien ne semble pas encore avoir saisi cette évidence, la communauté internationale est beaucoup moins tendre à son endroit.
Il y a quelques jours à peine, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie ont annoncé une nouvelle alliance militaire excluant Ottawa. C’est du jamais vu. Le Canada, un pays membre des Five Eyes et du Commonwealth, a toujours été proche de Londres et de Washington.
Le Canada de Trudeau est clairement vu comme le ventre mou de l’Anglosphère, un pays incapable d’exclure Huawei de son futur réseau 5G. Rappelons que si cette entreprise liée à l’armée chinoise est impliquée dans la construction de notre réseau 5G, elle pourra non seulement nous espionner mais aussi paralyser nos routes, nos usines et nos hôpitaux en cas de conflit entre Pékin et Ottawa.
Signe de l’incroyable amateurisme du gouvernement Trudeau, sa mollesse à l’égard de la Chine n’a pas été suffisante pour se faire des amis au sein du Parti communiste chinois.
En effet, suite à l’arrestation de la dirigeante de cette même entreprise douteuse à Vancouver à la demande des Américains, Pékin a ordonné l’arrestation de deux citoyens canadiens (les 2 Michael) en guise de représailles. Ces deux hommes sont incarcérés dans des conditions inhumaines. Pour mettre la pression sur Ottawa, le régime communiste a également condamné à mort plusieurs ressortissants canadiens déjà emprisonnés.
Mais ces quatre États ne sont pas les seuls que Justin Trudeau s’est mis à dos, loin de là.
C’est également le cas de l’Inde. Si on se rappelle surtout de la visite de Trudeau à New Delhi pour ses accoutrements ridicules, il faut préciser que le premier ministre indien, Narendra Modi, a refusé d’accueillir personnellement son homologue canadien.
La raison? Il considérait (et considère toujours) que les extrémistes sikhs lié au Babbar Kalsa ont infiltré le Parti libéral du Canada (de même que le NPD, bien sûr). À la demande du lobby des enturbannés, Trudeau a d’ailleurs fait retirer toute mention des extrémistes sikhs d’un rapport du ministère de la Sécurité publique portant sur les risques terroristes au Canada. C’est d’autant plus délirant que cette mouvance est responsable de l’attentat le plus meurtrier de l’histoire canadienne!
Le communautarisme promu par l’idéologie postnationale du gouvernement Trudeau est donc directement responsable du pourrissement des relations avec l’Inde, une puissance nucléaire en pleine émergence dotée de la deuxième population du monde (qui sera bientôt la première).
Et ce n’est pas le seul exemple du genre. On considère généralement que la politique étrangère antirusse du gouvernement Trudeau a été impulsée par l’ancienne ministre des affaires étrangères (et actuelle vice-première ministre) Chrystia Freeland. Freeland est issue d’une famille d’ultra-nationalistes ukrainiens qui ont collaboré avec le régime nazi, comme il y en a beaucoup dans l’Ouest canadien (un bloc électoral qui pourrait s’avérer intéressant). Évidemment, le Kremlin ne s’est pas laissé faire.
Un autre allié de Moscou, la Biélorussie, a récemment fait les frais du droit-de-l’hommisme à la noix de Trudeau, qui a décidé d’imposer des sanctions contre Alexandre Loukachenko et ses ministres, comme la plupart des pays de l’OTAN. Minsk a à son tour fermé son ambassade à Ottawa. Si Loukachenko n’est pas un grand démocrate, il a été beaucoup moins liberticide que la plupart des gouvernements occidentaux dans sa gestion de la pandémie. Cela devrait compter pour quelque chose…
Pour une raison étrange (islamophilie?), le droit-de-l’hommiste Trudeau a refusé de défendre le droit au blasphème lorsqu’un terroriste tchétchène a décapité un enseignant français l’an dernier. Cela a bien sûr jeté un froid sur les relations franco-canadiennes, alors qu’Emmanuel et Justin devraient normalement être des âmes sœurs.
On pourrait aussi parler du Venezuela, du Nicaragua, de l’Arabie Saoudite, de la Turquie, des Philippines et ainsi de suite.
En fait, il serait plus rapide de faire la liste des États avec lesquels nos relations ne se sont PAS détériorées depuis l’arrivée de Trudeau junior au 24 Sussex.
Il est venu le temps pour les citoyens canadiens et québécois de faire preuve de cette même lucidité qui caractérise les chefs d’États du monde entier et d’admettre que cet imbécile détruit tout ce qu’il touche. Assez de ce gamin gaguesque et de son cabinet d’incapables. Nous méritons d’être gouvernés par des adultes!
Trudeau va l’emporter. Ps Trudeau est un fou . Je me demande quoi faire.