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La vague de dénonciations anonymes sans précédent qui secoue le Québec depuis quelques semaines vient d’essuyer son premier revers. Suite aux allégations calomnieuses et mensongères à l’endroit du chef du Bloc Québécois Yves-François Blanchet, des pages féministes et des sites web publiant les dites dénonciations, notamment Les Hyènes en Jupons, ont disparu du web dimanche le 19 juillet.
De plus, dans une lettre qui circule sur le web, une ex-Hyènes en Jupons autoproclamée révèle que le collectif féministe aurait des visées foncièrement malhonnêtes et diffamatoires. La lettre d’environ dix pages explique en détails la doctrine crapuleuse et mal intentionnée de ce mouvement féministe qui aurait utilisé des faux témoignages, manipulé des victimes et organisé des campagnes de salissage.
Voici le témoignage troublant de Caroline, une ancienne militante du groupe Hyènes en Jupons.
Les faits énoncés sont troublants, la lumière sur ces méthodes contraires à la loi doit être faite.
Les dernières semaines ont été marquées par des publications anonymes de fausses allégations à l’égard de plusieurs personnalités de la scène artistique, politique et entrepreneuriale du Québec. Cette entreprise calomnieuse et revancharde aura certainement le déshonneur d’avoir jeté l’ombre sur des témoignages véridiques et discrédité de vraies victimes d’agressions sexuelles.
Que les politiques et les médias cessent d’enfumer la population avec leur « politiquement correct » à la noix. Les dénonciations anonymes ne sont pas un signe de courage, mais bien une entreprise criminogène magouillée par des radicaux d’extrême-gauche, entreprise nuisible envers les vraies victimes d’agressions et diffamatoire pour ceux accusés à tort.
Ce que je viens de lire c’est absolument choquant. Nous les hommes on devrait se méfier des femmes.
Faudrait pas généraliser. La gauche radicale est un mouvement malsain pour tous.