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La vice-présidente de la FFQ veut définancer et désarmer totalement la police

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Des groupes qui forment la « Coalition pour le définancement de la police » demandent de désarmer les policiers, même les matraques, pistolets Taser et poivre de Cayenne.

Ils demandent aussi de réduire de 50 % une somme de 665 millions qui serait octroyée au Service de police de la Ville de Montréal pour verser cette somme aux communautés noires, autochtones et autres groupes « oppressés ».

De même, ils demandent de décriminaliser toutes les drogues, ainsi que le travail du sexe et de « libérer les détenus et supprimer les casiers judiciaires reliés aux drogues et au travail du sexe ».

Des groupes qui forment cette coalition ont rencontré la presse, mardi à Montréal, pour exposer ces revendications, parmi d’autres. Parmi eux, on retrouve Black Lives Matter Montréal, Stella (qui représente des travailleuses du sexe) et Solidarité sans frontières.

 

Marlihan Lopez est vice-présidente de la Fédération des femmes du Québec et porte-parole de Black Lives Matter Montréal. Elle a été récompensée par l’ONU pour son militantisme racialiste.

 

« Nous, on demande seulement 50 % de ce financement. Il faut comprendre la réalité des Montréalais : lorsqu’on appelle la police pour une personne noire, il y a six policiers qui vont se présenter, pas un. Lorsqu’on appelle la police pour une personne autochtone, il y a 12 policiers qui vont se présenter », a lancé Marie-Livia Beaugé, du groupe Hoodstock, de Montréal-Nord.

Ces groupes voudraient que les sommes servent plutôt aux loisirs, au logement, aux activités dans ces communautés « marginalisées ».

Cliquez ici pour lire la suite de l’article de Lia Lévesque sur le site de La Presse

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2 commentaires

  1. Moi, j’opterais plutôt de dé-financer la FFQ qui place à sa direction des personnes sans trop de jugement. Quand ce n’est pas un homme féminisé, c’est une tête légère qui demande sans le dire clairement de se débarrasser de la police tout simplement. Eh bien non, je ne crois pas que ce soit le désir de la population. Vous ne nous représentez pas, alors, cessez vos élucubrations d’hydrocéphale ( et encore que c’est faire insulte aux hydrocéphales qui ne méritent pas ça!)

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