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Le premier ministre Justin Trudeau se rendra en France cette semaine pour participer à l’Appel de Christchurch, une réunion multilatérale visant à enrayer la propagation du terrorisme et de l’extrémisme en ligne.
Dans une déclaration publiée une semaine avant le sommet, M. Trudeau a affirmé que « les médias sociaux et d’autres plateformes en ligne ont permis de créer des nouveaux liens positifs et sans précédent entre les gens », mais que ceux-ci sont de plus en plus « utilisés pour promouvoir, publier et répandre la violence extrémiste et la haine. »
Les gouvernements et les entreprises des secteurs technologiques réunis lors de ce sommet discuteront des moyens à prendre pour lutter contre les contenus violents dans Internet. Lors de la fusillade de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, le tireur a diffusé son attaque en direct sur les réseaux sociaux, et cette vidéo a été partagée des milliers de fois.
M. Trudeau a condamné les « éléments toxiques » de la société qui ont colporté, immédiatement après la fusillade de Christchurch, le fait que la diversité serait une faiblesse pour les nations.
La ministre des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, a également déclaré aux Nations unies que le néonazisme, le suprémacisme blanc et l’islamophobie constituent certaines des « menaces les plus graves » auxquelles le monde est confronté.
De son côté, Washington a officiellement condamné la violence à Christchurch, et le président Donald Trump a exprimé sa sympathie pour les victimes. Il a toutefois minimisé la menace du nationalisme blanc à travers le monde, affirmant qu’il ne la considérait pas comme une menace croissante, malgré des données suggérant une augmentation.
Aucun représentant de la Maison-Blanche n’a été invité à l’Appel de Christchurch.
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Le travail doit être « collaboratif »
Lors du sommet en France, il sera demandé aux pays et entreprises participants de signer une déclaration par laquelle elles s’engageront à prendre des mesures concrètes pour lutter contre les contenus violents en ligne.
Selon M. Mellsop, un partenariat public-privé sera essentiel dans cet effort. Il est presque impossible de réglementer le contenu en ligne de manière à interdire complètement les publications violentes ou extrémistes, dit-il, mais il faut bien commencer quelque part.
« Je pense que pour fonctionner, les efforts doivent être collaboratifs. Les sociétés de technologie peuvent faire quelque chose. Les gouvernements aussi pourraient agir pour résoudre le problème », a déclaré M. Mellsop.
« pour promouvoir, publier et répandre la violence extrémiste et la haine. »… il parle-tu du coran là?
Oui mais nous ne sommes pas sur le bon bord, l’islam est in partout dans le monde ça l’air, dixit le nouvel ordre mondial
En bâillonnant les idées émises sur internet, nos petites licornes roses et bleues politiques (Justin Trudeau et compagnie) s’assureront ainsi de ne pas être contrariés par des millions de gens qui ne pensent pas comme eux. En français, ça s’appelle ¨censure¨.
Ce procédé ne sert qu’à une chose pour ces frileux du débat, c’est de ne pas avoir à se poser LA question à tous ces problèmes du multiculturalisme … POURQUOI ?
—Pourquoi les tensions montent avec l’augmentation de l’immigration ?
—Pourquoi une religion plus que les autres est source de bien des problèmes partout dans le monde où elle s’installe sans trop vouloir s’intégrer ?
—Pourquoi les hommes blancs, hétéros et de la classe moyenne se sentent-ils trahis par leurs dirigeants et se sentent coupables de tous les maux de la terre ?
Le jour où nos élites répondront franchement et sincèrement à ces questions et autres, peut-être le monde commencera-t-il à mieux fonctionner