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Banlieues françaises : nouvelles émeutes ethniques par des hordes d’islamo-racailles

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Alors que des CRS étaient en train de le contrôler, un homme de 22 ans a percuté un des policiers avec son véhicule. Un policier a fait feu et le conducteur est décédé à l’hôpital. Des violences ont aussitôt éclaté dans trois quartiers nantais.

Dans la soirée du 3 juillet, lors d’un contrôle à Nantes vers 20h30, un jeune homme de 22 ans a été touché par la balle d’un policier au niveau de la carotide avant de décéder à l’hôpital de cette blessure. Des violences urbaines ont éclaté dans trois quartiers sensibles de la ville. 

Initialement, le contrôle a été «diligenté par un équipage de CRS suite à des infractions commises par un véhicule», a déclaré Jean-Christophe Bertrand, directeur départemental de la Sécurité publique (DDSP). Ce dernier a également fait savoir que l’identité de l’automobiliste n’étant «pas claire, les CRS ont reçu pour ordre de ramener le conducteur» au commissariat.

Mais «le conducteur, faisant mine de sortir de son véhicule, a percuté un fonctionnaire de police» qui a été légèrement blessé aux genoux, a déclaré le DDSP, qui précise : «Un de ses collègues a fait feu et a touché le jeune homme qui est malheureusement décédé.»

 

La France est périodiquement soumise aux émeutes des islamo-racailles

Le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a précisé auprès de l’AFP : «Le SRPJ de Nantes et l’Inspection générale de la police nationale sont saisis de l’enquête afin de préciser la commission des faits et déterminer dans quelles circonstances le policier a été amené à faire usage de son arme.»

Mais dans le quartier du Breil à Nantes, les violences urbaines ont commencé aussitôt après le tir du policier de la Compagnie républicaine de sécurité. Jean-Christophe Bertrand a notamment fait état de «prises à partie» et de «jets de cocktails Molotov». Des voitures ont été incendiées, ainsi qu’une centre paramédical situé dans un centre commercial. Selon les propos du DDSP, les violences n’ont pas tardé à se répercuter dans les quartiers de Malakoff et des Dervallières.

C’est seulement plusieurs heures plus tard, aux alentours de minuit que le calme serait revenu, mais les pompiers continuaient à lutter contre les flammes à trois heures du matin dans le quartier des Dervallières, où la mairie annexe et la Maison de la justice ont été touchées.

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 En filigrane des violences urbaines : la haine de la France

L’AFP précise que, de source policière, aucune arrestation n’a eu lieu. Près de 200 policiers ont été mobilisés et le calme n’est vraiment revenu qu’aux petites heures du matin, le 4 juillet dans les trois quartiers touchés. Selon une source proche du dossier, au cours de la semaine du 25 juin, le quartier Breil avait déjà été placé en dispositif de sécurité renforcé après la découverte d’un blessé par balle avec suspicion de l’usage d’une arme de guerre.

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