Geneviève Lajoie >
Le Parti québécois est ouvert à réviser sa position sur l’interdiction des signes religieux pour en venir à un compromis avec le gouvernement Legault.
À la demande de François Legault, le ministre de l’Immigration et de l’Inclusion a rencontré mardi le chef intérimaire péquiste pour discuter du projet de loi sur la laïcité qui sera déposé sous peu.
Au sortir de la rencontre, Pascal Bérubé a signalé que les positions du PQ et du gouvernement caquiste ne sont pas irréconciliables. « On est beaucoup plus près, et c’est un euphémisme de le dire, de la position de la CAQ qu’on présume que de celle du Parti libéral et de Québec solidaire qui sont très loin, selon moi, du consensus québécois. »
Comme le gouvernement, les péquistes souhaitent interdire le port des signes religieux chez les employés de l’État en position d’autorité, incluant les enseignants. Le PQ veut étendre cette disposition aux éducatrices en service de garde, mais surtout, accorder un droit acquis aux employés qui affichent actuellement leurs convictions religieuses.
« Clause grand-père »
Les membres du gouvernement Legault sont divisés quant à la « clause grand-père ». Si plusieurs membres du caucus sont contre l’idée d’accorder un droit acquis aux travailleurs actuels, d’autres pensent au contraire que c’est la meilleure solution pour éviter des congédiements.
Et si on a pas de pas le voile on est libres et en plus on ne va pas dans les autres pays qui nous accueille les bras ouverts pour ensuite mettre leur pays à votre façon c’est ça qui me fâche le plus et que nos gouvernements se plie à vous demande ça c’est encore plus insultant va dans un pays arabes et va essayer de les bouleverser tu n’as même pas le droit au vote seulement et tu ne seras jamais au Conseil
Pas de clause grand père .
Qui sera assez fou pour laisser son emploi bien rémunéré ?
La Caq devrait aussi appliquer la loi aux garderies comme proposé par le P. Q..
Il me semble que dans ce cas-ci, on devrait parler de clause grand-mère étant donné que ce sont principalement des femmes qui sont visées.