Accueil / Multiculturalisme / Ségrégation raciale : un évènement interdit aux hommes blancs à l’UQÀM

Ségrégation raciale : un évènement interdit aux hommes blancs à l’UQÀM

HQA >

La mouvance décoloniale ne cache plus le fait qu’elle pratique la ségrégation positive et se vante maintenant d’organiser des évènements interdits aux hommes blancs à l’Université du Québec à Montréal.

Une « soirée de discussion non-mixte entre femmes et personnes non-binaires racisées » a eu lieu dans un local de l’UQÀM le 30 mars.

Cet évènement ouvertement raciste est condamnable par la loi. Imaginons un instant que des étudiants de l’UdeM organisent un évènement interdit aux Noirs. On en parlerait en première page de tous les journaux canadiens.

La Commission des droits de la personne s’intéressera-t-elle à la discrimination raciale dont les étudiants blancs sont victimes à l’UQÀM?

Mais comme on le sait, les médias de masse et l’administration de l’UQÀM sont surtout reconnus pour faire preuve d’une lâcheté sans nom quand il s’agit des dérives de l’extrême-gauche.

Rappelons que la ségrégation raciale anti-blanche n’est pas le seul fait de la gauche woke qui sévit sur les campus. On a ainsi assisté à des délires semblables chez Projet Montréal il y a quelques mois.

Voir également

En rappel : Haroun Bouazzi, député solidaire de Maurice-Richard, a défendu la charia

Québec contre les extrémistes et radicaux > [Article de 2015] Haroun Bouazzi a défendu la …

Un commentaire

  1. Je ne reconnais plus le Québec que j’ai rencontré il y a 34 ans de ça. Un Québec où il faisait bon vivre, accueillant sans nuance à la couleur ou à la race.

    Je suis attristée de constater ce qui se passe ces dernières années. Je me suis établie dans cette belle province qui m’a accueillie sans jugement et sans condition.

    C’est sur cette terre que j’ai découvert mon identité de femme libre avec tous mes défauts et mes qualités.

    C’est au Québec que j’ai réalisé qu’il fallait que je me débarrasse de mes idées préconçues envers ceux qui ne me ressemblaient pas pour faire de la place à la tolérance et à l’acceptation de l’Autre dans toute sa différence.

    Après 34 ans de vie au Québec, je peux dire fièrement et sans me cacher que cette terre, c’est la mienne. J’appartiens au Québec de tout mon âme et mon coeur.

    Fadila Kouider

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *