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Un haut responsable iranien des droits de l’homme a appelé le gouvernement canadien à abroger une loi discriminatoire qui a fait perdre à une citoyenne son poste d’enseignante pour avoir porté un hijab en classe dans la province orientale [sic] de Québec.
Fatemeh Anvari, une enseignante canadienne de troisième année travaillant à Chelsea, a été informée plus tôt ce mois-ci qu’elle ne serait plus autorisée à diriger ses cours car le port du foulard contrevenait à la loi 21, adoptée en 2019.
Le limogeage [sic] a engendré une condamnation généralisée [sic] de la loi controversée au Québec, les critiques soulignant que la loi cible injustement les minorités ethniques sous prétexte de faire respecter la laïcité.
« Fatemeh Anvari, une enseignante de 3e année à l’école primaire Chelsea, au Québec, s’est fait dire qu’elle ne pouvait plus continuer dans son rôle parce que son hijab était contraire à la loi 21 du Québec. Les parents, les élèves et d’autres membres de la communauté se sont rassemblés pour protester contre le retrait d’Anvari et pour la soutenir », a déclaré jeudi Kazem Gharibabadi, secrétaire général du Bureau iranien des droits de l’homme, dans un tweet.
« Nous appelons le gouvernement fédéral canadien à intervenir dans le dossier et à soutenir les Québécois qui luttent pour faire invalider cette loi discriminatoire », a-t-il ajouté.
Fatemeh Anvari, a Grade 3 teacher at Chelsea Elementary School, Quebec, was told she could no longer continue in her role because her hijab ran afoul of Que’s Bill 21. Parents, students and other community members rallied to protest against Anvari's removal and to support her.1
— Gharibabadi (@Gharibabadi) December 16, 2021
We call on the Canadian federal government to intervene in the case and support those Quebecers that are fighting this discriminatory law through its annulment.2
— Gharibabadi (@Gharibabadi) December 16, 2021
Le projet de loi datant de 2019 a interdit aux fonctionnaires du Canada [sic], y compris les policiers, les avocats, les juges et les enseignants, de porter des symboles religieux en public dans l’exercice de leurs fonctions.
La loi affecte des articles tels que les turbans, les kippas, les hijabs et les croix, mais a un impact démesuré sur les femmes musulmanes de la province orientale, où 74,5% des enseignants sont des femmes.
« Il ne s’agit pas de mon vêtement. C’est un problème plus important… Je ne veux pas que ce soit une affaire personnelle parce que cela ne fera de bien à personne », a déclaré Anvari à CTV News au Canada. « Je veux que cela nous permette de réfléchir à comment les politiques publiques affectent les vies des autres. »
La départ d’Anvari a suscité des protestations dans son école, où les élèves et le personnel ont placé des rubans verts [la couleur de l’islam, NDLR] et des affiches en sa faveur.
Le premier ministre canadien Justin Trudeau a jusqu’à présent refusé d’intervenir dans l’affaire, affirmant qu’il ne voulait pas créer un litige entre le Québec et le gouvernement fédéral.
Les écoles anglophones de la province ont combattu la loi et ont récemment perdu une contestation judiciaire empêchant l’entrée en vigueur du projet de loi.
Le gouvernement canadien a une longue histoire de violation des droits des minorités ethniques et religieuses. Il suit l’exemple des Européens qui pratiquent la discrimination raciale et promeuvent l’islamophobie.
Les musulmans canadiens ont organisé à de nombreuses reprises des rassemblements à travers le pays pour faire pression sur Ottawa pour qu’il aborde le problème de l’islamophobie dans un contexte d’attaques croissantes contre les musulmans et les lieux de culte islamiques au fil des ans.
Le Canada est déjà sous le choc depuis la découverte de milliers de tombes anonymes, dont plusieurs seraient celles d’enfants autochtones, sur les sites d’anciens pensionnats gérés par l’Église dans le pays.
Le système des pensionnats du Canada a séparé de force plus de 150 000 enfants des Premières Nations de leurs familles entre 1831 et 1996 [sic]. De nombreux enfants séparés de leur foyer par le système scolaire contrôlé par l’Église ont été victimes d’abus, de viols et de malnutrition.
Oui, l`islamophobie,(Mot inventer pour ne pas dénoncer les horreurs de l`islam.), fait 2000 mort et plus par années, la victimisation des musulmans est pitoyable.
Le régime islamiste d`Iran ne veut pas qu`on se mêle de leurs lois alors pourquoi les écouterions-nous ? Ces « messieurs« disent que c`est discriminatoire ? C`est comme si un tueur en série nous demandait de ne pas faire mal à un des siens alors qu`il en tue à la pelletée chez lui !! De toute façon Trudeau ne peut rien faire car si le Canada osait le faire ( Techniquement il le peut ) alors il se passerait 2 choses ; 1 – La volonté de faire un pays au Québec deviendrait irrésistible et en plus le Droits de l`Homme condamnerait le Canada en vertu du deuxième paragraphe sur Wikipedia . ( Voir aussi MAGISTRATURE : TRUDEAU NOMME UN MUSULMAN AYANT COMPARÉ LA LAICITÉ AU NAZISME . . . . sur ce même site )